DA VINCI CODE
Salut à tous !
Aujourd’hui on s’attaque à une belle cata… euh film sortit en 2006, le DA VINCI CODE.
J’ai tout simplement décidé d’en parler pour « fêter » la sortie prochaine de « ANGES ET DEMONS », la suite, tel que c’est présenté dans la bande annonce !
Je ne me permettrai en aucun cas de parler du livre, que je n’ai pas lu et dont l’envie de le lire est passée de « pourquoi pas » à « plutôt crever la gueule ouverte » après la vision de l’adaptation (vu la première fois lors de sa sortie au cinéma).
Le début du film est de bonne facture, nous mets bien dans une ambiance plutôt sombre suite à l’assassinat de Jean-Pierre « voix incroyable » Marielle. Ce début plutôt sympa bien que classique nous donne donc bien envie d’avancer dans une intrigue que l’on nous promet conséquente !
Mais voilà la première anicroche… Apparition de Jean "nettoyeur" Reno, et là :
« Bonjour capitaine Fache ! »
Bon là ça va ! Mais plus tard :
« Salut Bézu »
OUI OUI ! ! Les Américains sont donc officiellement entrés en compétition avec les Japonais pour trouver le nom « à la française » le plus ridicule possible ! BEZU FACHE ! ! ! Mince alors ! J’ai franchement eu besoin de vérifier que j’avais bien entendu pendant le générique de fin… Mince... Pendant deux jours la queuleuleu à résonné dans ma tête ensuite....
Enfin bon… Ceci étant un détail, on passe donc à la suite, l’apparition de l’insipide, ici, Audrey « Amélie Pouliche » Tautou
- La lumière bleu, comme dans Rambo 3
-Méfiez vous des albinos, toujours des moines tueurs! Notez le faciès incroyable d'Audrey
Le souci principal du film reste l’incroyable PREVISIBILITE, non pas du scénario en lui même mais plutôt du déroulement du film ! La réalisation bien que professionnelle (malgré la dent pour certains de ses films, Ron Howard n’est pas une pantoufle quand même (Willow en avant ! !)) est sans grande originalité (voire même sous tranxene), le jeu des acteurs pas franchement incroyable (en même temps on leur demande pas de jouer le Roi Lear) mais surtout le courant du film nous mène sur une intrigue qui n’est pas si originale que ça !
De traîtres en demi-vilains, de personnages caricaturaux en révélations à forte teneur musicales, on est entrainé au long du film en se disant à chaque fois « tiens donc ! », « je l’avais pas vu venir celle là », « oulàlà que c’est original ! ! ».
Du coup c’est pas très palpitant… Ce qui est par ailleurs fort dommage car, même en n'étant pas fan des révisions historiques pas forcément du meilleur goût, il y avait un bon potentiel (surtout grâce au personnage de Sylas au fort potentiel ici un peu gâché (beaucoup ? scandaleusement ? ?))
Mais non. La sauce ne prend pas ! Nous sommes en plein devant un film blockbuster de facture classique, calibré pour plaire, qui ne sort vraiment pas des sentiers battus (voire même carrément goudronnés) qui n’est pas détestable en soit. On passe un bon moment (sauf les insatisfaits comme moi) mais ça ne laisse pas vraiment de trace après le générique de fin…
Un autre souci important dans ce film est la maladresse historique, ou plutôt la NON-CREDIBILITE du fond. Vous me direz (et vous auriez raison de le faire) « mais pour qui te prends tu pour juger de la crédibilité d’une histoire recherchée et travaillée par ce bon bougre de Dan Brown » ou encore « la critique est facile mais l’art est difficile » et pourquoi pas « tu dis n’importe quoi pingouin des Carpates » .
- Petit résumé: en utilisant photoshop, comme Léonard décidemment trés en avance sur son temps, vous découvrirez que jésus faisait des galipettes avec Marie-Madeleine!! Logique non?
Cependant, et j’espère que vous en conviendrez, tout un film qui nous fait suivre une enquête visant à résoudre une insupportable énigme tellement incomparablement difficile à percer qu’il suffit de quelques jours à un professeur d’université pour y arriver, et ainsi donc mettre à jour le secret le mieux garder de l’église depuis la crucifixion, et ce malgré moult traitres et fausses pistes… Quelque part, ça pique et on a vraiment du mal à y croire, et encore plus de mal à cause du pseudo sérieux qui entoure le livre d’origine, et donc le propos fantasque de la chose…
Cet aspect indigeste est justement renforcé par d’indigentes (ha ha) scènes de flashback historiques qui semble souvent un peu… artificielles et malvenues, je pense notamment à l’incroyable siège de Jérusalem où l’on apprend qu’il y avait des soldats à perte de vue, certes (et encore…), mais surtout des trébuchets qui envoient des MISSILES TOMAHAWK sur la ville ! ! MAGNIFIQUE ! ! !
Rajoutez à cela des rebondissements particulièrement prévisibles, des acteurs qui ont apparemment bien du mal à se motiver et surtout une FIN particulièrement mauvaise et indigeste,voilà, vous avez LE pétard mouillé de l’année 2006 ! !
Pour ce qui est des acteurs, un détail, vous aurez remarquez est que je n'ai pas encore vraiment parlé du héros, le Professeur Langdon, joué par le sémillant Tom "BIG" Hanks qui est d'une platitude et d'un basique à regretter les pires moments de non-jeu des Feux de l'Amour!!! Même pas besoin d'en rajouter! Ah si, pourtant excellent acteur, Ian "gandilf le le gras" Mc Kellen est au même niveau dans ce film (le surjeu en plus!!)
EN RESUME:
- Un merveilleux pétard mouillé, une réalisation aléatoire pour soutenir un scénario insupportablement insipide.
Pour ma part, je lui donnerais un médiocre 4 car malgré tout, le film se laisse voir!
A vous!!
PS: Le trébuchet est une catapulte médiévale que l'on peut aussi trouver sous le nom de couillarde (nom provenant de sa forme sympathique, au moyen âge, on avait bon goût!!)
PS2: Non vraiment entre sa coiffure et sa platitude, le professeur Langdon bat des records d'insupportabilité!!
PS3: "Ah ah ah la queuleuleu turlututu, Ah ah ha la queuleuleu turlututu, tout le monde s'éclate, à la queuleuleu..." Un grand moment de notre belle chanson Française! http://www.youtube.com/watch?v=Atu545VFbZg
Aujourd’hui on s’attaque à une belle cata… euh film sortit en 2006, le DA VINCI CODE.
J’ai tout simplement décidé d’en parler pour « fêter » la sortie prochaine de « ANGES ET DEMONS », la suite, tel que c’est présenté dans la bande annonce !
Je ne me permettrai en aucun cas de parler du livre, que je n’ai pas lu et dont l’envie de le lire est passée de « pourquoi pas » à « plutôt crever la gueule ouverte » après la vision de l’adaptation (vu la première fois lors de sa sortie au cinéma).
Le début du film est de bonne facture, nous mets bien dans une ambiance plutôt sombre suite à l’assassinat de Jean-Pierre « voix incroyable » Marielle. Ce début plutôt sympa bien que classique nous donne donc bien envie d’avancer dans une intrigue que l’on nous promet conséquente !
Mais voilà la première anicroche… Apparition de Jean "nettoyeur" Reno, et là :
« Bonjour capitaine Fache ! »
Bon là ça va ! Mais plus tard :
« Salut Bézu »
OUI OUI ! ! Les Américains sont donc officiellement entrés en compétition avec les Japonais pour trouver le nom « à la française » le plus ridicule possible ! BEZU FACHE ! ! ! Mince alors ! J’ai franchement eu besoin de vérifier que j’avais bien entendu pendant le générique de fin… Mince... Pendant deux jours la queuleuleu à résonné dans ma tête ensuite....
-Bézu?? -Bézu!!
Enfin bon… Ceci étant un détail, on passe donc à la suite, l’apparition de l’insipide, ici, Audrey « Amélie Pouliche » Tautou
- La lumière bleu, comme dans Rambo 3
-Méfiez vous des albinos, toujours des moines tueurs! Notez le faciès incroyable d'Audrey
Le souci principal du film reste l’incroyable PREVISIBILITE, non pas du scénario en lui même mais plutôt du déroulement du film ! La réalisation bien que professionnelle (malgré la dent pour certains de ses films, Ron Howard n’est pas une pantoufle quand même (Willow en avant ! !)) est sans grande originalité (voire même sous tranxene), le jeu des acteurs pas franchement incroyable (en même temps on leur demande pas de jouer le Roi Lear) mais surtout le courant du film nous mène sur une intrigue qui n’est pas si originale que ça !
- La boite à code, LE véritable running gag du film! Véritable Rumikub... vraiment en avance le Léonard!
De traîtres en demi-vilains, de personnages caricaturaux en révélations à forte teneur musicales, on est entrainé au long du film en se disant à chaque fois « tiens donc ! », « je l’avais pas vu venir celle là », « oulàlà que c’est original ! ! ».
Du coup c’est pas très palpitant… Ce qui est par ailleurs fort dommage car, même en n'étant pas fan des révisions historiques pas forcément du meilleur goût, il y avait un bon potentiel (surtout grâce au personnage de Sylas au fort potentiel ici un peu gâché (beaucoup ? scandaleusement ? ?))
Mais non. La sauce ne prend pas ! Nous sommes en plein devant un film blockbuster de facture classique, calibré pour plaire, qui ne sort vraiment pas des sentiers battus (voire même carrément goudronnés) qui n’est pas détestable en soit. On passe un bon moment (sauf les insatisfaits comme moi) mais ça ne laisse pas vraiment de trace après le générique de fin…
Un autre souci important dans ce film est la maladresse historique, ou plutôt la NON-CREDIBILITE du fond. Vous me direz (et vous auriez raison de le faire) « mais pour qui te prends tu pour juger de la crédibilité d’une histoire recherchée et travaillée par ce bon bougre de Dan Brown » ou encore « la critique est facile mais l’art est difficile » et pourquoi pas « tu dis n’importe quoi pingouin des Carpates » .
- Petit résumé: en utilisant photoshop, comme Léonard décidemment trés en avance sur son temps, vous découvrirez que jésus faisait des galipettes avec Marie-Madeleine!! Logique non?
Cependant, et j’espère que vous en conviendrez, tout un film qui nous fait suivre une enquête visant à résoudre une insupportable énigme tellement incomparablement difficile à percer qu’il suffit de quelques jours à un professeur d’université pour y arriver, et ainsi donc mettre à jour le secret le mieux garder de l’église depuis la crucifixion, et ce malgré moult traitres et fausses pistes… Quelque part, ça pique et on a vraiment du mal à y croire, et encore plus de mal à cause du pseudo sérieux qui entoure le livre d’origine, et donc le propos fantasque de la chose…
Cet aspect indigeste est justement renforcé par d’indigentes (ha ha) scènes de flashback historiques qui semble souvent un peu… artificielles et malvenues, je pense notamment à l’incroyable siège de Jérusalem où l’on apprend qu’il y avait des soldats à perte de vue, certes (et encore…), mais surtout des trébuchets qui envoient des MISSILES TOMAHAWK sur la ville ! ! MAGNIFIQUE ! ! !
Rajoutez à cela des rebondissements particulièrement prévisibles, des acteurs qui ont apparemment bien du mal à se motiver et surtout une FIN particulièrement mauvaise et indigeste,voilà, vous avez LE pétard mouillé de l’année 2006 ! !
- 2 heures 20 de lèvres pincées et de regards éffarés!
Pour ce qui est des acteurs, un détail, vous aurez remarquez est que je n'ai pas encore vraiment parlé du héros, le Professeur Langdon, joué par le sémillant Tom "BIG" Hanks qui est d'une platitude et d'un basique à regretter les pires moments de non-jeu des Feux de l'Amour!!! Même pas besoin d'en rajouter! Ah si, pourtant excellent acteur, Ian "gandilf le le gras" Mc Kellen est au même niveau dans ce film (le surjeu en plus!!)
EN RESUME:
- Un merveilleux pétard mouillé, une réalisation aléatoire pour soutenir un scénario insupportablement insipide.
Pour ma part, je lui donnerais un médiocre 4 car malgré tout, le film se laisse voir!
A vous!!
PS: Le trébuchet est une catapulte médiévale que l'on peut aussi trouver sous le nom de couillarde (nom provenant de sa forme sympathique, au moyen âge, on avait bon goût!!)
PS2: Non vraiment entre sa coiffure et sa platitude, le professeur Langdon bat des records d'insupportabilité!!
PS3: "Ah ah ah la queuleuleu turlututu, Ah ah ha la queuleuleu turlututu, tout le monde s'éclate, à la queuleuleu..." Un grand moment de notre belle chanson Française! http://www.youtube.com/watch?v=Atu545VFbZg